Mais le dernier trimestre verra des personnels à bout de souffle, épuisés par des réformes mal conduites et une organisation qui nie leurs compétences et leur dévouement.
Sans même évoquer l’absence d’information municipale en direction des 260 nouveaux électeurs du scrutin du 1er juin, les animateurs du temps périscolaire. Un droit de vote que la Cgt n’a cessé de réclamer et que l’administration a dû reconnaître (en essayant de le réduire à néant).
État des lieux : tract écoles 2017