L’autorité territoriale entend forcer la main aux représentants du personnel et mettre en application le Rifseep au 1er juillet 2017.
La déclaration commune des organisations syndicales est restée lettre morte.
La négociation demandée n’a pas eu lieu.
Et le dispositif présenté comporte des éléments dangereux, et a priori notoirement illégaux, notamment en matière de lien entre les absences et le régime indemnitaire.
La CGT a, en son temps, rappelé que le premier volet d’un arrêt de travail ne doit, en aucun cas, être porté à la connaissance de la hiérarchie ou de la DRH (voir à ce sujet notre article de 2010).
Nous rappelons aujourd’hui ce principe et mettrons tout en oeuvre, avec votre appui, pour le respect du secret médical.
Plus de renseignements sur l’état d’avancement du dossier en suivant ce lien.